samedi 17 octobre 2015

Fermeture 2015...

Petit retour sur la matinée de pêche qui conclue cette saison qui est passée bien vite.

En compagnie du padre nous sommes allé comme chaque année sur le Guiers. Quel plaisir de le voir comme cela, magnifique. Après ma dernière visite cet été ou le fort étiage m'avais bien démoralisé, les dernières crues ont totalement lessivées le fond de la rivière.
C'est le padre qui lancera les hostilités avec la prise de 2 ombres coup sur coup.
Puis ce sera a mon tour de décapoter :) , avec la  prise d'ombres et truites.





Dommage je dépiquerai un jolie poisson, la faute a un mauvais ferrage.

C'est pas tout mais la fermeture c'est aussi le moment de retrouver les amis autour d'un bon casse croute. Direction le pont du curé ou je retrouve Léo et Fabien, plus de nombreux pêcheurs de l'AAPPMA.
Encore un très bon moment de passé, seul regret ne pas avoir pu voir David (faute de temps, j'avais que la matinée de dispo).

Voila maintenant on va laisser reposer les cannes en remplir les boites pour la saison futur.

Bye
Julien


mercredi 30 septembre 2015

Là on cause...

J'ai oublié de vous parler de mon meilleur coup de canne de la saison.

Lors d'une sortie initialement prévue a la traque de dame fario je suis tombé sur un banc de barbeaux.
Dans le lot j'en repaire un qui pioche des nymphes, avec le museau littéralement planté dans la mousse. Je l’observe pendant un long moment, de là où je suis il ne peut pas me voir.
Il n'y a quasiment pas de courant et bien 1m10 de fond. Je monte une grosse nymphe histoire qu'elle plonge rapidement a la bonne hauteur. L'avantage de cette taille imposante c'est que j'arrive bien a la voir.
Les premiers lancés font que la nymphe passe a quelques centimètres du pépère, mais celui ci ne bouge pas d'un iota. Une truite aurait sans doute englouti le présent, mais le caractère fantasque du barbeau fait qu'il faut lui amener la pitance directement sur le museau.
Au bout d'un moment j'arrive enfin a faire venir la nymphe au niveau du barbillon, la réaction est instantané et ma grosse nymphe passe dans l'aspirateur. Ni une ni deux je ferre, le poisson se tortille sur lui même n'aillant pas compris le subterfuge. Une fois les esprits retrouvés, le combat est mené tout en puissance. Il y a peut d'obstacle et le combat se déroule sans accros. Grâce a ma nouvelle épuisette xxl le pépère glisse facilement au fond.
Je fais rapidement quelques photos de la bête, puis remise a l'eau.

Bon je suis déçu car mon appareil photo n'était pas sur le bon mode, du coup c'est flou mais on voit bien les mensurations. Sans doute mon plus gros poisson touché a la mouche.

Bye les amis.

dimanche 27 septembre 2015

Cout de poker...

Pour moi la pêche est une partie de poker permanente. Cela commence des le départ de la maison, ou on effectue une mise afin de choisir le bon spot. La hauteur de la mise peu varier en fonction de la météo, de la "qualité" piscicole de la rivière, de la pression de pêche sur cette rivière, etc... Le but pour nous pêcheur étant de miser peu et gagner gros :)

Voici un exemple précis de 2 cas :

1) Je décide de partir pêcher la Bourne, rivière que je n'avais pas encore pêchée cette année. Départ donc pour le plateau, j'arrive pour attaquer les gorges et la surprise, elles sont fermées pour cause de travaux ?! Tant pis je décide de prendre la carte du plateau, histoire de me remémorer le bon vieux temps avec Jean-Mi. Ouah, la claque la rivière a sacrement morflée, peu d'eau, peu de poisson, fonds colmatés, dégouté je plie et rentre a la maison. Sur ce cout j'ai tout perdu (cramage de gazole et dégout sentimentale pour cet ancien bijou de notre département).

2) Il pleut des trombes chez moi, mais l'envie et trop forte. Tant pi je sais que je mise gros car j'ai de la route et de grandes chances de trouver la rivière en désordre. Arrivé sur place , ben finalement ça pêche et ça pêche même bien :) Premier gros spot, je ferre sans doute une jolie truite, car j'ai pas eu le temps de calculer, que la belle a filé dans l'amas de branches présent juste en amont. La casse est immédiate... Je remonte la rivière et touche quelques petites. Second gros spot, grosse bagarre , puis soudain décrochage. Sans trop comprendre je regarde mon hameçon et celui ci est ouvert !?


Bon a ce moment je me dis que la journée est mal barrée...

Et puis non, je vais toucher coup sur coup deux superbes truites dont voici les mimines 




-Une vrai panthère-

Sur ce cout mon parie a été gagnant, mais les probas était vraiment contre moi. Comme quoi, faut pas se poser trop de questions :)

Bye les amis...

dimanche 23 août 2015

Norvege Episosde 2

Salut a tous,

Voici la seconde video de notre sejour.


Norvege Episode 2 from Mouth_38 on Vimeo.

N'hesitez a la visionner en HD pour un meilleur rendu.

Bye
Julien

samedi 8 août 2015

Video trip Norvege Ep1

Salut a tous,

Voici la vidéo du premier épisode de notre périple en Norvège.

Je vous invite a la visionner en HD sur le site de Vimeo :)




Au Pays des Trolls Ep1 from Mouth_38 on Vimeo.

Pour ceux qui ne l'on pas lu je vous invite a lire le récit de notre séjour dans le post précédent.

@+
Julien

mardi 4 août 2015

Au pays des Trolls

A l’origine, ce voyage était prévu l’année dernière, mais je n’avais trouvé personne pour m’accompagner. J’ai remis le sujet sur la table en ce début d’année et mon pote Ben a décidé de me suivre dans cette aventure. Grace à Patrick (Patpeche) et Rémy, plus de nombreuses recherches sur le net, j’ai bouclé un séjour d’une semaine en Norvège.
Départ le 5 juillet 2015, direction l’aéroport de Genève pour un décollage initialement prévu à 20h30. Premier grain de sable, le vol a 1h00 de retard dû à des orages violents sur l’Allemagne. Espérons que la personne de l’agence de location de véhicule nous attendra à l’arrivée ?!
Atterrissage à 00h30 à Oslo et direction l’agence pour récupérer notre voiture. Nous devions avoir une citadine (plus économique mais pas le top pour avaler les 350 km qui nous séparent du camp de pêche). Finalement une personne nous attend et nous remet les clés d’une berline (une Volvo V40), cool…
Nous chargeons rapidement les bagages et « on the road again »… Je sors le GPS (où j’avais préréglé l’adresse depuis la France) et là le biniou m’annonce « pas de réception satellite », oups. Nous n’avons pas pris de carte, faisant entière confiance à l’électronique. Nous choisissons un grand axe en sortie d’aéroport au petit bonheur. Finalement le GPS reprend ses esprits et nous indique de faire demi-tour. Nous nous exécutons, le moral revient, mais la fatigue se fait sentir. L’heure d’arrivée est fixée à 5h30. Au fur et à mesure de notre remontée vers le nord le ciel s’éclaircit, et le jour pointe (il est 3h00 du matin).


Changement de pilote pour que Ben fasse une petite sieste. La route est magnifique, les bosses s’enchaînent dans une alternance de forêts et de lacs, dans une nature préservée. Durant notre trajet nous avons eu la chance d’observer un élan ainsi que 2 chevreuils.

Jour 1:
5h30, et nous arrivons à notre « résidence » pour la semaine. Premier constat, ça sent la pêche à plein nez. Les six chalets sont tous occupés, les cannes et les gilets sont accrochés sur les façades. Nous décidons de faire un petit « sieston » histoire de reprendre des forces.

Deux heures plus tard, l’envie de pêcher est trop forte, nous sortons pour nous équiper, et le camp s’éveille également. Cela nous permet de serrer les premières mains. Nous rencontrons Anne-Marie, Laurent, Didier Patrick avec qui le courant passe rapidement. Nous prenons quelques infos sur les spots et les mouches qui pêchent. Patrick décide de nous accompagner sur le parcours en face de nos habitations.
Premier constat, la rivière est large, cela me fait penser au Vieux Rhône.

Des gobages sont présents de partout, quoi de mieux pour nous accueillir.
Je décide de me placer au milieu de la rivière, le wading est un peu tendu. J’ai de l’eau jusqu’aux hanches et ça pousse fort. J’arrive à me caler, et envoyer mon petit « cul de canard » non loin d’un gobage devant moi. Après quelques dérives un bel ombre monte se saisir de mon imitation, le combat est rapidement écourté car le poisson se dépique. Qu’importe, le séjour est lancé. Les gobages sont toujours présents mais la météo est en train de tourner, et le soleil généreux qui nous a accueilli a disparu pour laisser place à du vent et de la pluie. Impressionnante la rapidité de ce changement.
Il est temps de stopper cette première matinée pour aller faire quelques courses. Quelques ombres sont venus me saluer, le moral est donc au beau fixe malgré cette météo pourrie. De toute façon il faut se faire une raison, le mauvais temps est annoncé durant 4 jours.

Arrivés à la supérette du coin, nous allons découvrir la gastronomie norvégienne… Nous trouvons peu de légumes sur les étals, et beaucoup d’aliments sous blister. Nous faisons le plein de charcuteries, pâtes et autres saucisses.
Apres avoir englouti le premier casse-croûte suivi d’une petite sieste, changement de spot. Les gobages ont disparu et nous passons en nymphe. Honnêtement, en France, avec une météo identique, je n’aurais même pas sorti la canne. Le vent glacial (il fait autour de 9°C) empêche de faire de belles dérives. Malgré tout, nous arrivons à toucher du poisson (toujours des ombres). Attention nous ne parlons pas de carton, ici chaque ombre se mérite.

Retour au bercail bien humide et bien froid. L’apéro entre les collègues du camp réconforte. Chacun a su tirer son épingle du jeu, les quasi 30 km de « no-kill » (prélèvement d’un seul ombre par jour) permettent de pêcher différents profils. Certains ont fait des cartons, et d’autres comme Ben et moi avons fait tout juste pêche. Nous apprendrons que le secteur pêché l’après midi n’était pas un « hot-spot ».
Apres le repas du soir nous irons observer la rivière pour espérer un coup du soir, mais en vain.

Jour 2 :
Pas de changement côté météo, il pleut toujours….Nous décidons de chercher les grosses fosses afin de tenter de gros poissons en nymphe. Et à force de recherche nous allons tomber sur notre spot à « big mama ». Dans une jolie retourne nous allons enchaîner les prises avec nos premières belles truites norvégiennes. Côté sensation, il n’y a pas photo, à taille équivalente les truites ont une puissance phénoménale.

A la suite du casse-croûte, la pluie a cessé et nous optons pour la pêche en sèche sur un grand lisse. Les gobages sont à nouveau nombreux. Quel spectacle magnifique. Il y a un véritable tapis roulant de mouches. De nombreuses espèces d’insectes sont présentes, grosses éphémères (type March Brown), petites « merdouilles » sedges et plécos de différentes tailles. Et là les choses vont se compliquer. Avec un menu aussi varié, nos chers poissons n’ont que l’embarras du choix. En plus du choix de la bonne mouche, la présentation doit être parfaite. Bon, pour nous couvrir, nous sommes de piètres pêcheurs en sèche, nous pratiquons dans nos Alpes surtout une pêche sous la canne. Et pour compliquer le tout, l’ombre se pêche surtout en dérive aval. Et ça, on a mis un moment à le piger. Pour nous, béotiens nous propulsions nos mouches amont avec de jolis posés tendus, bref tout faux. L’après-midi fut donc un vrai calvaire. Nous avions l’impression d’être nargués par ces « satanés » ombres… Lors de cette sortie, j’ai dû passer plus de 80 % des modèles de ma boîte de sèches. Qui a dit que la pêche en Norvège serait une foire à neuneu. Je dois admettre que je le pensais et qu’avec le bagage technique que j’avais ce serait « ficelle ». Encore une fois, tout faux.

De retour au camp pour le traditionnel debrief, je m’aperçois que certains ont la mine grave et d’autres la banane. Patrick, ce jour-là, avait la bonne mouche et a fait un carton.
Jour 3 :
C’est une copie conforme du jour précèdent. Le vent froid du nord a remplacé la pluie, et les températures sont toujours basses pour la saison. Nous optons pour le même schéma tactique que la veille. Notre hot-spot nous attire tel deux papillons sur un réverbère. Ben me laisse le privilège d’attaquer la veine d’eau. La veille, nous avions bien vu l’endroit exact où lancer notre nymphe pour un passage parfait. C’était dans cette veine d’eau et rien d’autre. Je m’applique donc à lancer ma grosse nymphe (bille tung de 3,5). Tout se passe comme dans les livres, le fil se bloque, ferrage et gros combat. J’aperçois les reflets bruns de la truite qui me font penser à un gros poisson. Le combat ne dure pas très longtemps puisque la belle décide de prendre le courant. La puissance de cette brownie, plus le tirant d’eau n’ont laissé aucune chance à mon 14 centièmes. Les jambes et les bras tremblants, j’ai vraiment les boules, je tenais mon poisson du séjour, après cela, j’aurais limite pu laisser la canne au chalet.
L’après-midi sera du même tonneau que la veille.

Jour 4 :
Je passe volontairement au jour 5 et 6 bien plus intéressants.
Jour 5 :
Enfin, la météo nous est clémente, le soleil est revenu et le vent du nord a stoppé. À l’heure de pointe, il a fait 21°C. Nous avons désormais acquis quelques connaissances sur les différents parcours qu’offre cet immense no-kill. La rivière nous révèle alors tout son potentiel. Et je n’avais jamais vu ça. J’ai vu autant de gobages en une matinée que ce que je vois en 10 ans de pêche sur mes rivières iséroises. Certains trouveront cela exagéré, mais il faut le voir pour le croire. Avec Ben, nous commençons également à piger le coup de la dérive aval. La bonne mouche étant également trouvée (ils étaient sur des sedges), les prises s’enchaînent. Je décide de faire une petite pause pour observer Ben pêcher. Soudain je sens des pommes de pin me tomber sur le coin de la figure. Je me retourne et Patrick nous fait la bonne surprise, de venir faire quelques vidéos. Nous en profitons pour avoir une petite leçon particulière sur « la dérive aval ». Il se saisit de la canne de Ben, on aurait dit qu’il pêchait avec depuis 10 ans. En deux « faux lancers » la mouche est rapidement propulsée au milieu de la rivière. Il nous montre comment bien repositionner la soie pour effectuer des mending et ainsi lâcher presque 25 mètres de soie. Quel bonheur de faire monter un ombre à plus de 20 mètres. Bon, après faut le ferrer le pépère. Ce petit cours nous a complètement ouvert les yeux. Encore merci Pat’.
Cette journée restera gravée dans ma mémoire.
Nous rentrons au camp avec la banane, la team auvergnate a également cartonné.

Jour 6 :
Dernier jour de pêche et le soleil est toujours présent. nous décidons de retourner sur la zone pêchée la veille. Les conditions sont en tout point identiques, gobages, sedges et dérives aval.
En 6h00 de pêche nous avons dû remonter à peine 100 mètres, pour dire l’activité.
Ce fut la meilleure journée de pêche de tout le séjour.
Jour 7 :
Il est temps de dire au revoir à nos ami(e)s pour une dernière journée dans la capitale.
Pour conclure :
La pêche :
Elle a été crescendo de jour en jour. Il est toujours agréable de terminer un séjour sur une superbe sortie. Nous n’avons pas tenu de scoring mais lors de la dernière journée j’ai touché pas loin de 40 poissons.
Les poissons :
Nous avons surtout pris des ombres (les plus gros faisaient autour des 50, sans toutefois les dépasser). Je dois dire que j’ai eu un faible pour les truites avec leur défense et leurs magnifiques robes brunes.

Les mouches :
Les sedges chevreuil ont fait notre bonheur sur la fin du séjour. En journée sur les grands lisses, nous avons surtout utilisé de petit « culs de canard » façon voilier. A noter que mes klinkhammers ne m’ont rien rapporté.
Les rencontres :
C’est pour moi 50 % d’un bon séjour pêche. Et nous en avons fait de belles. Grosse dédicace à Laurent qui vit avec une passion débordante la vie de son AAPPMA qui a subi la connerie humaine dernièrement avec la pollution des sources de la Dordogne. Merci également à Pat’ pour ses sedges et le cours de dérive aval.
Le budget:
Tout compris le séjour m’aura couté 800 euros.

Les indispensables :
La bombe à moustiques, un bonnet (il m’aurait bien servi), des vêtements chauds, éventuellement un bâton de wading (parfois ça pousse fort) et un bon K-Way ou Gore-Tex.

FAQ :
Ma canne 3 brins a pu être prise en bagage à main.
Mieux vaut retirer des sous à l’aéroport d’Oslo sur un distributeur d’argent (éviter les services d’échanges).
Le coût de la vie est bien plus cher et pour les amateurs de spiritueux après une bonne sortie, il vaut mieux glisser la bouteille dans la valise au départ de France (le duty-free n’est plus ce qu’il était  ).

@+
Julien

lundi 3 août 2015

Tracteurs Vs Porsche

Salut a tous,

Voici quelques photos pour illustrer le titre :)

Très peu de sorties compte tenue de ces fortes chaleurs et du fort étiage de nos rivières.

- Voici pour les tracteurs :) - 
 
 - Voici pour la Porsche :) -

Bye
Julien



lundi 13 juillet 2015

Retour du paradie...

Ça y est, ma semaine de pêche en Norvège vient de se terminer.
Que dire..... :)
On en a pris plein les mirettes, des poissons de partout, des rivières toutes plus belles les unes que les autres, des rencontres....
En attendant la video et un article plus detaillé voici deux photos pour patienter, le temps que je trie tous :)



Bye 
Ju


samedi 27 juin 2015

Fabrication d'une épuisette...

Suite a une mésaventure en début d'année, mon ancienne épuisette faite en grande partie par mon père a été avalée dans les méandres d'une rivière de notre cher département :)
Pour palier a ce manque j'en avais de suite racheté une sur le net équipée d'un filet plastique. Celle ci fait très bien son affaire en petite rivière et sur des poissons de tailles modestes. Mais par 2 fois elle s'est montrée juste, entrainent la dépique de 2 belles truites. J'ai donc redessiné un gabarit pour les big mama, et le padre a gentiment recréé le cadre en frêne. Voici quelques photos de la bête que je trouve superbe.



Y a plus cas.....

Bye
Ju



vendredi 12 juin 2015

Persévérance...

Il en fallut cet aprem. Après avoir touché 2 barbillons et un bel ombre la pluie c'est invitée. J'ai décidé de rester, et ça a payé.
Je touche 2 jolies truites farios de pas loin de 40,  et j'en dépique 2 autres qui étaient surement du même tonneau.
Comme quoi, cette alternance d’éclaircie, de pluie + une eau légèrement teintée on fait la différence. J'ai vu également pas mal d'insectes et quelques gobages.
Bref une superbe sortie.
Voici deux photos que j'avoue pas terrible étant donné la faible luminosité et l'excitation du bonhomme :)



Bye 
Julien


samedi 30 mai 2015

Sortie en famille...

C'est avec mon mon père que nous avons rejoint le Guiers en ce début d’après midi.
Toutes les conditions sont réunies pour bien réussir cette sortie. Malheureusement nous allons vite déchanter, arrivée sur place je le trouve relativement bas, malgré les fortes précipitations des derniers jours. De plus le substrats est hyper glissant,"Pecheurs faites attention" car un bain frais est vite arrivé :).
Les premières heures vont être dure avec aucun poisson touché par nous deux. Nous décidons de changer de spot, et la enfin on va faire pêche. J'arrive a trouver un profond avec quelques jolies pépères. J'en ferai 2 dont un 45+, et j'en dépiquerai un qui m'a mis la misère, et qui a fini par ce décrocher (vraiment un très gros poissons). Le padre aura un peu de mal et decrochera aussi un ombre.

La fin de la journée n'apportera rien. J'avais choisi un spot susceptible d'abriter de gros poisson en cas d'activité lors du coup du soir, mais rien, pas d’éclosion, pas de gobages CQFD....

Bye
Ju

dimanche 17 mai 2015

Ca commence à causer...

Tout a commencé jeudi, ou je suis enfin retourné pêcher ma rivière de cœur qu'est le Guiers. C'est seulement la seconde fois que j'y vais cette année. Lors de cette journée j'ai pu pratiquer différents secteurs (4 au total) dont certain ont été des découvertes.

Le premier, est un secteur que je connais bien, les deux premières heures sont rudes, pas une tirée pas une ragougne :) ... Mais je ne désespère pas et je continu a m'appliquer dans chacune de mes dérives.
Et puis.... ça fini par payer, la belle est pendue, s'en suit  un jolie combat qui finira dans ma nouvelle épuisette.
 - 40+ -
La belle retournera rapidement dans son élément stoppant prématurément la séance photo. Quoi qu'il arrive part la suite, la journée est réussi.Un tel joyaux sur cette rivière ça faisait bien longtemps, que du bonheur. Je toucherai encore une 30+ et un bel étendard de 40+.
Pause casse croute expresse puis changement de secteur pour retourner la où j'ai appris a pêcher, en compagnie de mon père et mon grand-père. Je suis toujours choqué par le manque de civisme des gents. Cette portion du Guiers est un endroit très fréquenté par les pêcheurs mais aussi les familles et les "jeunes" du coin. Plusieurs tables et poubelles sont a dispositions, et malgré ça l'endroit est un dépotoir... Deux pêcheurs sont déjà en action et les postes sont plutôt limités. Je les laisse passer et j'attaque la veine d'eau qu'ils viennent de pêcher au toc mais pas avec le même positionnement. Je prendrais trois poissons coup sur coup, 1 petite arc et 2 ombres. J’arrête la et décide de partir plus bas suite a une discussion téléphonique que j'avais eu avec David.
J'arrive a trouvé le spot et tombe sur Jean Avril en compagnie d'un "gone" comme il aime a le dire. On se met de suite a parler de pêche et de mon grand-père qu'il a très bien connu (le monde est parfois bien petit). Vraiment une belle personne ce Jean Avril, qui n’hésite pas a passer du temps au bord de l'eau et a transmettre aux jeunes sa passion. De grosses arcs ont été lâchées sur ce secteur, et j'en repère rapidement une. Je lui présente une première nymphe bien trop légère. Après quelques passages je change pour un modèle beaucoup plus lourd. Bingo. Ou la ça déménage j'avais oublié la puissance d'une truite de pas loin de 60. La mémère dans un ultime rush emballe la bobine de mon moulinet entrainant une belle salade de ma soie. La pointe de mon bas de ligne ni résiste pas, c'est la casse... Je salue Jean en espérant pouvoir organiser une sortie en compagnie de David, et remonte un peu plus haut pour terminer ma journée. 
Ce dernier secteur est également une découverte, un pécheur est en action. Je pêcherai peu, mais le parcours et prometteur. Fin de cette superbe journée....

Et pour finir ce long week-end, pendant la sieste de la petite, je m’échappe une petite heure pour voir ce que donne les rivières du coin. Et bien ça pêche, malgré les fortes pluies des jours précédents. J'observe le manège d'une truite qui vient piocher en surface les insectes qui dérivent. J'en profite car le spectacle est rare. Je me décide par essayer de l'attaquer mais le coup n'est pas facile, pas de possibilité pour fouetter. Je noue une petite émergente olive et après plusieurs lancés arbalète, la belle se saisie de mon imitation. Le poisson est bien plus gros que ce a quoi je m'imaginai et je n'ai pas pris mon épuisette. Très honnêtement je pensais le combat mal barré, mais finalement....
"Exceptionnellement n'aillant pas mon épuisette, et compte tenu de la beauté de cette truite, je me suis permis de la poser sur l'herbe, avant le remise a l'eau"
- Quelle robe-

- Comment prélever une telle beauté... -


Voila comment terminer une belle semaine....

Bye
Ju



lundi 27 avril 2015

Grand Chelem...

Aujourd'hui j'ai eu de la chance :) , j'ai pu toucher truites farios, truite arc en ciel, cheucheux et barbeaux.
Je me suis bien éclaté. J'ai malgré tout cassé sur un gros moustachu, je l'ai tenu un moment et puis il en a eu marre d’être tenu en laisse :)

Voici quelques photos de cette sortie.






Bye
Julien...


mardi 21 avril 2015

After work...

Que ça fait du bien de pouvoir s’évader a la pêche après le boulot. C'est toujours des sorties à l'arrache mais elles réservent souvent de bonnes surprises. Aujourd'hui les poissons étaient dehors :)
Voici quelques photos de cette superbe sortie.

- 1ere belle de l'année -


Bye
Ju

lundi 6 avril 2015

4 saisons....

Et oui c'est bien ce que nous avons eu durant ce week-end Pascal.

Enfin l'été a tout juste pointé son nez aujourd'hui :)

Du coup il a fallu jongler avec la météo pour s'oxygéner un peu au bord de l'eau.
Par miracle la rivière qui coule non loin de chez moi est magnifique. La pluie vient de cesser et le vent du nord est quasi nul. Ni une ni deux je m'octroie 2 petites heures de pêche. Je peigne méticuleusement chaque poste. Je prendrai rapidement une petite truite, pensant que la pêche aller  être bonne, mais que nenni, je finirai ces 2 heures avec 1 seul poisson au compteur. En tout cas le cadre est magnifique.
Aujourd'hui, c'est avec Laurent que j'ai partagé ma session matinale. Nous avions convenu tous les deux d'aller découvrir de nouveaux spots. C'est donc en possession de plusieurs coordonnées GPS que nous sommes partie (à la fraiche 0°C) à l'aventure. Quand on part comme cela c'est un peu la loterie, avec ces gros lots ou ces sabots (comme dirait l'autre :) ). Les deux premières cartouches ne donneront rien. La troisième fut donc la bonne. La rivière est pas très large et plutôt technique a pêcher. Laurent pêchait au TOC et moi en nymphe. Et la comment dire..... J'ai pris une douille pendant 2 heures :) J'avais la sensation de bien passer avec de bonnes dérives mais rien (ou quasi, je termine la session avec 2 poissons). Et Laurent aura fait pêche sur tout le parcours. Une majorité de petits poissons (voir très petits -> signe de la repro?). Avec quand même deux jolies truites décrochées :)


Comme un sélectionneur de foot j'essaye de trouver une analyse a cette déroute :) Plusieurs facteurs sont a prendre en compte :
- Ou je suis une brelle...
- La rivière était très froide et sur la décrue, je pense donc que les poissons fatigués, se déplaçaient plus facilement sur un jolie verre de terre plutôt qu'une petite nymphe.

J'ai quand même refait quelques dérives avec une canne au TOC, et je dois dire que c'est comme le vélo :)
Allez vivement le printemps....

Bye
Julien